Il y a dans l’air un parfum, De terre et de mer mêlés, Et le vent, léger messager, Porte les échos des saisons.
Les arbres, dans leur majesté, Sont les phares d’un monde ancien, Leur feuillage est un abri, Pour toute vie qui s’épanouit.
Sous le ciel qui rugit, Où la vie se tisse en filigrane, Je suis étreint par ce tableau, Une œuvre d’art pure, éternelle.
- Gustave Flaubert